Chroniques des temps barbares
Café Littéraire de la Terrasse

Chroniques des temps barbares

Nous ne nous ferons pas brûler pour nos opinions
tant nous sommes peu sûrs d'elles.
En revanche, nous nous laisserions peut-être brûler
pour avoir le
droit d'avoir nos opinions, et d'en changer.
Frédéric Nietzsche, « Le Voyageur et son Ombre ».

Dans votre panier aujourd'hui :

 1 Le marché de la culture  2 Le marché du corps de la femme
 3 Le marché du sport  4 Le marché de la religion
 5 Le marché de la votation  6 Le marché de la peur
 7 Le marché de la santé (1)  8 Le marché de la santé (2)
 9 Le marché de la confusion 10 Le marché des vieux
11 Le marché du sexe 12 Le marché de la pauvreté
13 Le marché de la grippe A/H1N1 (prologue) 14 Le marché de la masculinisation du féminin
15 Le marché de la bagnole 16 Le marché de la grippe A/H1N1 (épilogue)
17 Le marché des seniors 18 Le marché du voile hystérique
19 Le marché des dictateurs 20 Le marché des clochers
21 Le marché de monsieur Servier 22 Le panier de sœur Sourire
23 Le marché des primaires 24 Le marché des contraintes
25 Le marché du livre 26 Le marché de l'adoption
27 Le marché de la bidoche 28 Le marché de la crise
29 Le marché de la f(i)ente 30 Le marché de la résignation
29 Le marché des bourriques 30 Le marché de la merdre

À venir très bientôt :

Ceci n'est pas un blog. Ce sont des exercices littéraires, à caractère polémique, aux termes volontairement provocateurs, que des mouvements d'humeur de l'auteur, face à l'apathie et la torpeur ordinaires, ont généré. Ces mouvements sont une goutte d'eau supplémentaire dans un océan à l'allure pacifique mais qui dit, qui parle sans hurler. Un lien, mais il en est tant d'autres, un lien dont je recommmande l'écoute : l'appel des appels, une radiographie du malaise social, diffusé sur France Culture le 21 mars 2009 et rediffusé le 16 août 2009.

On peut y réagir par courriel, par E-mail – c'est la même boîte –, ou tout autre moyen.

Les réactions sont consultables sous ce lien : Réactions, pourvu que leur auteur nous donne l'autorisation de les y porter.

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